A  B  C  D  E  F  H  I  L  M  P  R  S  T  V

A

À hauteur de poitrine : un endroit situé à 1,3 mètre au-dessus du sol. C’est généralement l’endroit où on mesure le diamètre d’un arbre.
Abattage : action de couper un arbre sur pied.
Acre : la superficie d’un terrain égale à 43 560 pieds carrés ou 0,405 hectare.
Acronymes forestiers : le ministère des Ressources naturelles et de la Faune offre une définition des acronymes et abréviations du secteur forestier. Cliquez ici pour accéder aux acronymes.
Aménagement forestier : ensemble des activités comprenant l’abattage et la récolte de bois, l’implantation et l’entretien d’infrastructures, l’exécution de traitements sylvicoles, y compris le reboisement, la répression des épidémies d’insectes, des maladies et de la végétation concurrente, de même que toute autre activité ayant un effet sur la productivité d’une aire forestière.

B

Bille de pied : première portion de l’arbre récolté à partir de la souche.
Biodiversité: variété, distribution et abondance des animaux, plantes, et micro-organismes, des fonctions et processus écologiques qu’ils réalisent et de la diversité génétique qu’ils englobent, à l’échelle locale, régionale ou du paysage.
Biomasse: ensemble des matières organiques produites par la croissance végétale et animale, ou par l’activité humaine et animale, qui peuvent être utilisées pour la production d’énergie ou à d’autres fins, telle la production d’isolants, d’engrais, de matériaux de construction, etc.
Bois de chauffage: bois destiné au chauffage, à la cuisson, ou au charbon.
Bois de valeur marchande ou Bois marchand: arbre dont le diamètre est d’au moins 10 centimètres à 1,3 mètre du sol et qui a une valeur commerciale.

C

Carboneutre: qui ne cause pas d’émissions nettes de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère.
Cellulose: (glucide de glucose) un des constituants du bois.
Certification forestière: instrument de marché qui vise à promouvoir l’aménagement forestier durable en fonction de facteurs environnementaux, économiques et sociaux. Elle prévoit l’évaluation indépendante de méthodes d’aménagement forestier selon des normes reconnues internationalement (ou nationalement) ainsi que la surveillance de la vente de produits forestiers. Si la forêt est aménagée conformément à un ensemble de normes précises et que ses produits ligneux sont surveillés et expliqués à toutes les étapes de la production, elle peut obtenir une certification reconnue sur les marchés.
Chablis: arbre ou groupe d’arbres déraciné en entier ou cassé par le vent.
Cheptel: ensemble des animaux d’élevage d’une exploitation agricole, d’une catégorie de bétail, d’une région ou d’un pays.
Chicot: un arbre mort sur pied qui se décompose. Il peut fournir un habitat pour plusieurs espèces et peut représenter une menace pendant les opérations forestières.
Cime: extrémité supérieure d’un arbre.
Composition d’un peuplement: Proportion relative de chacune des essences principales qui se rencontrent dans un peuplement, exprimée en pourcentage du volume total ou de la surface terrière du peuplement ou, encore, du nombre total d’arbres.
Conifère: famille botanique des arbres dont les fruits sont des cônes et dont les feuilles en forme d’aiguilles ou d’écailles restent vertes. On parle également de « résineux ». Le bois des conifères est tendre (mou).
Contre-feu: feu allumé en avant d’un incendie dans le but de le stopper.
Corde: unité de mesure correspondant à une pile de bois standard de 4 x 4 x 8 pieds ou 128 pieds cubes. On parlera de « petite corde » lorsque la corde est réduite en bûches de 12 ou 16 pouces.
Coupe à blanc: coupe de la totalité des arbres commercialisables d’un peuplement.
Coupe à blanc avec protection de la régénération: coupe à blanc réalisée en prenant toutes les précautions requises pour ne pas endommager la régénération préétablie.
Coupe avec protection de la régénération et des sols (CPRS) :: récolte de tous les arbres dont le diamètre d’utilisation est au moins égal à celui déterminé pour chaque essence, en prenant toutes les précautions nécessaires pour ne pas endommager la régénération forestière préétablie et en minimisant les perturbations au sol.
Coupe de jardinage: Mode de régénération d’un peuplement et de maintien d’une structure inéquienne par abattage d’arbres de toutes les classes d’âge, choisis individuellement ou en petits groupes.
Coupe de récupération: processus de récolte d’arbres morts ou mourants utilisé pour récupérer du bois et pour préparer les terrains qui seront reboisés. Cette coupe est souvent utilisée dans les forêts qui ont été endommagées par des insectes, des maladies ou du feu.
Coupe de succession: récolte des essences non désirées de l’étage supérieur d’un peuplement tout en préservant la régénération en sous-étage de façon à favoriser l’amélioration du peuplement quant à sa composition d’essences.
Coupe d’éclaircie commerciale: coupe partielle d’arbres commercialisables pratiquée dans un peuplement équienne qui n’a pas atteint la maturité. Cette coupe est destinée à accélérer l’accroissement du diamètre des arbres résiduels, et par une sélection convenable, à améliorer la qualité du peuplement.
Coupe d’éclaircie précommerciale: Coupe pratiquée dans un jeune peuplement des arbres qui nuisent aux arbres d’avenir, en régularisant l’espacement entre les tiges. Aucune récolte commerciale.
Coupe progressive: méthode d’aménagement équienne d’un peuplement parvenu à maturité qui consiste à extraire les arbres par étapes. La première intervention ouvre le couvert pour permettre l’établissement de la régénération naturelle en sous-bois tout en limitant la croissance de la végétation concurrente. Une deuxième intervention peut être nécessaire pour atteindre de meilleures dimensions. La coupe finale récolte le reste du peuplement une fois la régénération bien établie.
Couvert forestier: écran formé par les cimes ou les couronnes des arbres qui limite la quantité de lumière arrivant au sol et fournit de l’ombre aux couches de végétation inférieures.

D

Débardage: transport de tiges d’arbres abattus depuis la souche jusqu’à l’aire d’empilement à l’aide d’une machinerie qui supporte entièrement les tiges.
Débusquage: transport de tiges d’arbres abattus depuis la souche jusqu’à l’aire d’empilement à l’aide d’une machinerie qui traîne les tiges.
Déforestation: suppression de la forêt sur une aire donnée.
Défrichement: conversion d’une forêt en culture par arrachage complet des souches.
Dégagement: traitement visant à libérer les jeunes arbres de la végétation concurrente indésirable qui les domine.
Dendrométrie: science de la mesure des arbres (forme, dimensions, volume, accroissement, etc.)
Densité (d’un peuplement): nombre de tiges par unité de surface.
Diamètre à hauteur de poitrine (dhp): le diamètre d’un tronc d’arbre mesuré à 1,3 mètre au-dessus du sol.
Drainage: évacuation naturelle ou artificielle des eaux excédentaires.

E

Éclaircie: coupe partielle ou méthode d’espacement pratiquée dans un peuplement non arrivé à maturité, destinée à accélérer la croissance des arbres laissés sur pied.
Écosystème: ensemble dynamique des êtres vivants — plantes, animaux, ou micro-organismes – et de leurs interactions avec leur environnement naturel non vivant, qui forme une unité fonctionnelle.
Écosystème forestier exceptionnel (EFE):: les écosystèmes forestiers exceptionnels réfèrent à trois catégories d’écosystèmes forestiers, soit : la forêt rare, la forêt ancienne et la forêt refuge.
Éducation des peuplements: tout traitement sylvicole ayant pour but d’influencer l’accroissement et le développement des arbres individuels désirés dans les peuplements.
Élagage: suppression naturelle ou artificielle de certaines branches. L’élagage réduit la grosseur des nœuds dans le bois et augmente la valeur des tiges récoltées.
Émondage: suppression artificielle des mauvaises branches.
Entaille d’abattage: première entaille faite à la base de l’arbre, du côté de la direction de chute recherchée.
Équienne: se dit d’un peuplement dont les arbres ont approximativement le même âge.
Espèce exotique envahissante: espèce non indigène dont l’introduction ou la propagation menace l’environnement, l’économie ou la société, y compris la santé humaine. Les bactéries, les virus ou les champignons d’origine étrangère, les végétaux aquatiques et terrestres, les mammifères, les oiseaux, les reptiles, les amphibiens, les poissons et les invertébrés (ce qui inclut les insectes, les crustacés et les mollusques) peuvent tous devenir des envahisseurs.
Espèce menacée: toute espèce dont la disparition est appréhendée.
Espèce vulnérable: toute espèce dont la survie est précaire, même si sa disparition n’est pas appréhendée.
Essence dominante: espèce forestière la plus nombreuse et la plus vigoureuse dans un peuplement forestier.
Essence pionnière: l’essence la plus nombreuse et la plus vigoureuse dans une zone de végétation mixte. Les essences pionnières créent les conditions dont d’autres espèces auront besoin pour croître.
Étang: étendue d’eau reposant dans une cuvette à fond imperméable et dont la profondeur n’excède pas deux mètres au milieu de l’été. Le couvert végétal, s’il existe, ne se compose que de plantes aquatiques.

F

Feuillu: (bot.) arbre portant des feuilles à limbes relativement larges qui tombent normalement dans les régions tempérées tous les ans. (Écologie) Se dit d’un type forestier dans lequel moins de 25 % du couvert (ou de la surface terrière pour certaines juridictions) appartient aux conifères. Se dit aussi du bois de ces arbres.
Foresterie: ensemble des disciplines ayant pour objet la connaissance de la forêt et l’art de sa gestion.
Forêt ancienne: peuplement non modifié par l’homme, qui n’a subi aucune perturbation majeure récente et dans lequel on trouve de très vieux arbres. Les forêts anciennes ont comme particularité de renfermer à la fois des arbres vivants, sénescents et morts et un sol parsemé de gros troncs à divers stades de décomposition. On dénombre peu de forêts anciennes au Québec. Dans le sud de la province, la plupart des forêts ont en effet été considérablement affectées par la colonisation, puis par l’urbanisation. Plus au nord, ce sont les épidémies d’insectes et les feux qui les ont raréfiées.
Forêt équienne: forêt dans laquelle tous les arbres ont moins de 20 ans de différence entre eux.
Forêt inéquienne: forêt comprenant des arbres de tous âges et de toutes grandeurs, et au moins trois classes d’âge de 20 ans.
Forêt publique: forêt appartenant à l’État.
Forêt rare: type d’écosystème forestier qui occupe un nombre restreint de sites et couvre une superficie réduite. La rareté est généralement d’origine naturelle, mais elle peut aussi résulter de l’activité humaine : on dit alors qu’elle est anthropique. La rareté est évaluée autant à l’échelle du Québec qu’à l’échelle d’unités de territoire plus petites. Par exemple, les peuplements de pins rigides sont rares dans tout le Québec, alors que ceux de chênes rouges sont communs dans le sud-ouest de la province, mais rares dans la péninsule gaspésienne.
Forêt refuge: forêt qui abrite une ou plusieurs espèces (s) végétales (s) menacée (s) ou vulnérable (s). On peut, selon le cas, y trouver une espèce d’une grande rareté, une population remarquable de l’une ou l’autre de ces espèces ou une concentration significative (au moins trois) de ces mêmes espèces.

H

Habitat: milieu géographique dont les caractéristiques physiques offrent les conditions nécessaires à la vie et au développement d’une espèce animale ou végétale.
Habitat faunique: lieu naturel ou, plus rarement, artificiel, qui est occupé par une espèce ou un groupe d’espèces (population faunique). Dans ce milieu, l’animal trouve, outre l’abri, les éléments nécessaires à la satisfaction de l’ensemble de ses besoins fondamentaux, dont l’alimentation et la reproduction.
Hectare: superficie égale à 10 000 mètres carrés ou à 2,47 acres.
Houppier: partie supérieure de l’arbre formée des branches et des rameaux portés par le tronc. Syn. = cime.
Humus: ensemble des horizons du sol constitués par les matières décomposées provenant de débris végétaux.

I

Inéquienne: se dit d’un peuplement d’arbres d’âges divers.

L

Litière (organique): couche de débris végétaux recouvrant le sol (syn. couverture morte).

M

Marais: milieu humide dominé par des plantes herbacées sur substrat minéral partiellement ou complètement submergé au cours de la saison de croissance. Dans la majorité des cas, les marais sont riverains, car ils sont ouverts sur un lac, ou un cours d’eau, mais ils peuvent également être isolés.
Marcotte: portion de rameau d’arbre qui s’enracine spontanément par contact avec le sol.
Marécage: milieu humide dominé par une végétation ligneuse, arborescente ou arbustive, croissant sur un sol minéral ou organique soumis à des inondations saisonnières ou caractérisé par une nappe phréatique élevée et une circulation d’eau enrichie de minéraux dissous. Il est soit isolé, soit ouvert sur un lac, ou un cours d’eau.
Marquage: action de repérer un arbre dans une coupe et de le marquer soit pour le récolter, soit pour le laisser sur pied (syn. martelage).
Martelage: action de repérer un arbre dans une coupe et de le marquer parce qu’il est destiné à être abattu (syn. marquage).
Massif: grande forêt formant une entité.
MDF: panneau de fibres à densité moyenne.
Mélangé: se dit d’un peuplement composé de plusieurs essences soit feuillues, soit résineuses.
Milieu humide: expression qui couvre une large gamme d’écosystèmes, tels que les étangs, les marais, les marécages et les tourbières. Les milieux humides constituent l’ensemble des sites saturés d’eau ou inondés pendant une période suffisamment longue pour influencer la nature du sol et la composition de la végétation. Ces sols minéraux ou organiques sont influencés par de mauvaises conditions de drainage alors que la végétation se compose essentiellement d’espèces ayant une préférence pour des lieux humides ou d’espèces tolérant des inondations périodiques. Les milieux humides sont avant tout des milieux de transition entre les milieux terrestres et aquatiques. Ils sont soit riverains de lacs, de cours d’eau, d’estuaires ou de la mer, soit isolés dans des dépressions mal drainées. La majorité d’entre eux sont d’origine naturelle alors que d’autres sont le résultat d’aménagements directs ou indirects de l’homme.
Mixte: se dit d’un peuplement composé à la fois de feuillus et de résineux.
Mycorhize: association symbiotique du mycélium d’un champignon avec les racines d’une plante.

P

Palette: plateforme basse, en bois, sur laquelle on peut empiler des marchandises pour en faciliter la manutention.
Panneau de contre-plaqué: panneau constitué de fins feuillets de bois obtenus par déroulage, généralement de dimension standard. Ces feuillets sont collés ensemble en nombre impair, en intervertissant leur fil.
Panneau de particules: terme utilisé pour décrire les produits fabriqués à partir de particules de bois plus grosses que les fibres.
Papier Kraft: papier épais ou carton fait à partir de pâte de bois en mélangeant des copeaux de bois à une solution de sulfate de sodium portée à ébullition.
Peuplement forestier: ensemble d’arbres constituant un tout jugé assez homogène, notamment quant à sa composition floristique, sa structure, son âge et sa répartition dans l’espace, pour se distinguer des peuplements voisins.
Pinède: forêt de pins.
Plan conjoint: le plan conjoint est un outil à la disposition des producteurs agricoles (forestiers) et des pêcheurs, qui leur donne la possibilité de négocier collectivement toutes les conditions de mise en marché de leur produit ou de leur pêche et d’en réglementer des modalités. Il a pour but d’améliorer les conditions de mise en marché, de mieux répartir les revenus tirés de la vente des produits agricoles et de la pêche, de simplifier les mécanismes d’approvisionnement des transformateurs et de structurer l’offre de produit qu’il vise. Il peut être adapté tant aux caractéristiques du produit visé qu’aux besoins des intervenants.
Possibilité forestière: quantité de matière ligneuse (bois) que l’on peut prélever dans un territoire pour une période donnée, sans diminuer la capacité productive du milieu forestier ou nuire au capital sur pied. Cette quantité est établie en fonction de la productivité des peuplements d’arbres existants, de la superficie forestière productive, de l’utilisation du territoire et des objectifs d’aménagement.
Préparation de terrain: opération (scarifiage, labourage, brûlage, etc.) visant à préparer un terrain forestier de façon à favoriser l’ensemencement naturel, artificiel ou la plantation.

R

Rameau: petite branche.
Ravage: espace de confinement du cerf de Virginie en période hivernale.
Récolte par arbres entiers: procédé de récolte qui comprend l’abattage des arbres, leur transport (tronc, branches et houppier) jusqu’à une aire d’empilage où l’on exécute l’ébranchage et le tronçonnage.
Régénération: 1. processus de renouvellement, naturel ou artificiel, d’un peuplement. On régénère artificiellement une forêt en faisant la dissémination des graines, en plantant des arbres ou en favorisant la pousse de rejets de taillis. 2. Semis présents dans un peuplement.
Régénération naturelle: mode de reproduction naturelle (sans aide extérieure) des arbres par semis ou rejets spontanés.
Rejet: jeune pousse émise par une souche ou par une racine. C’est une forme de régénération naturelle qui permet à certaines essences de se reproduire sans graines (syn. drageon).

S

Scarification: action d’ameublir les couches superficielles d’un sol forestier pour en faciliter la régénération.
Sève: liquide nutritif qui circule dans les végétaux pourvus de vaisseaux.
Souche: base du tronc d’un arbre, restant en terre avec les racines après son abattage.
Sous-bois: ensemble des buissons et broussailles situé sous le couvert du peuplement principal.
Structure forestière: les âges et les dimensions des couches de végétation dans une forêt.
Succession végétale: suite des groupements végétaux qui se remplacent au cours du temps en un même lieu. Au sud du Québec, des champs et des prés dégagés succèdent souvent à des forêts abritant des essences intolérantes, puis sont remplacés par des forêts mixtes.
Sylviculture: art et science qui s’intéressent à l’établissement, à la croissance, à la composition, à la santé et à la qualité des forêts et des territoires forestiers afin de répondre, sur une base durable, aux divers besoins et valeurs des propriétaires et de la société.

T

Taille de formation: suppression de certaines branches dans le but d’améliorer la charpente d’un arbre.
Tourbière: formation végétale constituée de matières organiques partiellement décomposées, occupant un milieu mal drainé où le processus d’accumulation organique prévaut sur les processus de décomposition et d’humification.
Tourbière boisée: tourbière dominée par un couvert boisé, c’est-à-dire dans laquelle le recouvrement en arbres et en arbustes de plus de 4 mètres de hauteur est supérieur à 25 % de la superficie de la tourbière.
Traitement (sylvicole): mode cultural choisi pour la perpétuation d’un peuplement forestier qui constitue un enchaînement des opérations de sylviculture et des coupes (par ex. traitement régulier, irrégulier, mixte…).
Tronc: partie basse du fût utilisable en bois d’œuvre, jusqu’aux branches maîtresses.
Tronçonnage: opération qui consiste à couper le bois en travers de son axe.

V

Volume sur pied: volume de bois contenu dans les arbres debout.